
Le Jeudi Saint, nous avions coutume de nous retrouver en secteur aux Ulis pour une célébration commune avec tous les prêtres et diacres. Cette année, nous sommes restés en paroisse, mais nous étions bien nombreux autour de la table dressée en mémoire de son dernier repas.



A la place du lavement des pieds nous avons médité devant le tableau du lavement de sœur Marie-Boniface : regardant les yeux et les mains de Pierre disant son étonnement et son incompréhension, face à l’attitude pleine d’humilité et de sérénité de Jésus transmettant sa force d’aimer.

Nous avons pu à la fin de la messe nous recueillir en silence quelques instants devant le ciboire, avant que l’autel ne soit complètement dépouillé.

Le Vendredi Saint, le Chemin de Croix a pu avoir lieu dans l’Eglise, sans se déplacer ensemble devant les stations. Le recueillement n’en a été que plus intense, pour suivre le Christ dans sa souffrance.




L’Office œcuménique de la croix a rassemblé des représentants des églises protestante unie, protestante baptiste et catholique et des mouvements œcuméniques. Vous pouvez consulter l’article ou visionner l’enregistrement.

Pour la Vigile pascale, l’église s’était parée de couleurs lumineuses faisant éclater la joie de Pâques.



Nous n’avons pu nous réunir tous autour du feu pascal sur le parvis, mais la lumière nous a été transmise depuis le cierge pascal avant d’annoncer la Résurrection par le chant de l’Exultet.



La vigile ayant été avancée en raison du couvre-feu, le passage de la nuit à la lumière s’est fait dans une église silencieuse mais rayonnant de cette flamme qui ne s’éteint pas.



Le matin de Pâques, c’est encore une assemblée bien nombreuse qui s’est réunie pour fêter dans la joie la Résurrection célébrer le baptême de 6 jeunes et la première communion de Cyrille.





Pour la dernière messe de la Résurrection, l’église, encore remplie à la jauge maximale, rayonnait d’allégresse.

